Montricher - suite livre publié en 2017

  Le Mont Tendre: une montagne mythique !   "On ne sait qui l'a fait le Jura. Ce devait être un homme raisonnable qui n'aimait pas les excentricités. Le Jura, on peut y aller sans savoir l'anglais. Le Mont-Tendre, ça sent l'herbe, le bon coin où l'on peut s'asseoir sans avoir de précipice au-dessous de soi." Cette citation tirée d'un journal régional des années 1920 situe bien l'ambiance de ce coin du Jura apprécié loin à la ronde et que ce petit texte, composé sur la base d'extraits d'articles parus dans la riche presse vaudois vise à faire revivre. Un lieu parcouru et exploité de tout temps La région du Mont-Tendre composée de pâturages, le plus souvent boisés, a été occupé par les bergers et leurs troupeaux depuis de nombreux siècles. Les premières mentions évoquent des rassemblements à l'occasion de fêtes pastorales souvent bien arrosées à tel point que le gouverneur de cette époque (représentant le seigneur de Montric

  Prieuré d’Echono – page 24 de la monographie.   Il subsiste encore beaucoup d’interrogations sur le Prieuré d’Echono et notamment son emplacement. Il était rattaché aux moines des Prémontrés. J’ai fait quelques recherches et trouvé un document Aux archives départementales du Jura à Montmorroz (près de Lons-le-Saulnier) Le document découvert est magnifique, mais en latin ancien, donc … si quelqu’un peut le lire, merci de me contacter. Il est précisé que ces documents datent de 1376 à 1427. D’autre part, j’ai découvert aux Archives Cantonales Vaudoises, un document relatif   à l’Eglise de Montricher. (côte 41/2 document de M. Gilliard) Il y   figure une note manuscrite mentionnant «  on raconte que vers 1860, on a trouvé des tombes, au Crausaz probablement, près du cimetière de Montricher. S’était un dénommé Marc « Bedet » (difficile à lire) qui avait ce champ.  Il y a avait plusieurs sépultures qui étaient formées de pierres sèches formant voûte par encorbellement. Près des squele

  Les verriers: suite et fin de leur épopée sylvestre. texte Bernard Perrin Mentionnées à la Vallée de Joux,   les activités de verrerie dans le Jura Vaudois se développèrent dès le milieu du 16ème siècle, sur des sites tels que Praz-Rodez, la Thomassette ou les Grands-Plats, de part et d'autre du village du Brassus. Il y eut également un établissement au bord de la Lionne, près de l'Abbaye. Les verriers se déplacent ensuite aussi du côté du Mollendruz dès le début du 17ème siècle. Les seigneurs de La Sarraz et de Daillens   leur cèdent le droit de coupe de bois sur les flancs du Jura. Les défrichements permettent ainsi d'étendre les pâturages et de les louer à des amodiateurs venant même du Pays d' En Haut qui introduisent la fabrication du Gruyère. L'autorité bernoise voit d'un mauvais œil cette pratique et cherche à la limiter, voire à l'interdire. Elle édicte un règlement à propos des verreries. L'article 8 stipule ceci: "on n'en souffri

  Il existait  trois sociétés de laiterie jusqu'en 1905. La première qui disparut fut celle du Grand Faubourg sise dans l'actuel bâtiment du Grand Faubourg 2. Le nombre de sociétaires avait diminué de moitié entre 1883 et 1899 mais néanmoins un nouveau règlement fut édicté en 1894. En voici quelques extraits: ·        une amende de Fr. 150 est imposée si on porte le lait dans une autre laiterie, si on en vend, si on produit quelque produit laitier que ce soit ou si on nourrit des veaux achetés pour l'engraissement, ·        si on découvre du lait falsifié, le sociétaire fautif est exclu de la société et condamné à payer une amende de Fr. 200. Si on peut prouver que le lait a été falsifié par une autre personne, l'amende est fixée à Fr. 25, sans exclusion, ·        le sociétaire qui aura le plus de lait devra nourrir le fromager et fournir le bois pour chauffer la cuve à fromage.    La décision de dissoudre la société fut bel et bien prise en 1905 et la liqu

Lors du vernissage de notre livre en 2017, nous avion émis l'idée de prolonger un peu l'experience en créant un blog; puis, le temps a passé.... Puis en consultant mes archives, je m'aperçois qu'il y aurait encore beaucoup d'anecdotes ou d'histoires à raconter. Bernard Perrin est également retourné aux Archives Cantonales et m'a donné des textes à publier. Plusieurs personnes ont regretté que les photos présentées dans le livre ne contiennent pas les noms, spécialement  celles des photos de classe. Alors voici la première photo référencée. Il s'agit de la classe de Mlle Louisette Lenoir et les enfants présents sont nés en 1947 et 1948. 1. Gisèle Sahli; 2. Georgette Jaccaud; 3. Bernard Morel; 4 Arlette Buffet; 5. Denis Baud; 6.Daveline Freymond, 7.Nicole Serex; 8.Huguette Chenuz (actuellement David); 9 Anne Schwendi; 10 Francine Freymond; 11. Edih Chappuis, 12. John Allamand; 13. Michel Golaz; 14. Michel Vittoz; 15. Mlle Lenoir Louisette; 16. Norbert Jacq

 Classe "Prim Sup"  de M. Piguet - Année 1938 - 39 - 40 et 41 1. Friedli Hans, 2 Morel Michel, 3. Coendoz Gérald, 4. Redard Pierre, 5 Moser Hans, 6. Baudin Rose-Marie, 7. Bois Ginette, 8. Béday John-Henri, 9. Le maître de classe, M. Piguet Pierr, 10. Penel Mariette, 11. Buffet Claudine (Hartmann), 12. Maggy Rouby (Giannelli),  13. Josiane Magnenat, 14. Delesssert Josette, 15 Morel Monique, 16. Baudin Gilberte, 17. Magnin Simone, 18. Bois Yolande (Rosat), 19. Gerber Doris, 20. Bolay Dorette, 21 Bolay Madeline